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Julien, auteur de chère liberté
Julien, auteur de chère liberté

Cher Lecteur,

C’est moi, Julien, de Chère Liberté – un blog, un podcast et des vidéos sur la liberté.

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Tout d’abord, je tiens à être transparent. Un blog/un podcast/des vidéos, c’est du temps et des ressources à y consacrer. Il y aura donc des liens affiliés (liens sur lesquels je récupère une commission sur les achats des lecteurs, sans pour autant augmenter le prix du bien pour ces derniers). Il pourra aussi y avoir des produits/services sponsorisés et sélectionnés, qui seront indiqués comme sponsorisés.


Ce blog est pour moi un chemin d’initiation vers la liberté.

Grâce aux célèbres auteurs libéraux qui ont apporté chacun leur pierre à l’édifice, je souhaite améliorer ma compréhension de la Liberté. Je vais donc vous partager ici mon apprentissage, afin que chacun puisse en bénéficier, et puisse mettre en place la liberté dans sa vie au quotidien. J’ai d’ailleurs écrit sur cette page pourquoi il faut absolument et tout le temps soutenir la liberté. Ou pourquoi il faut développer la pensée libérale en France. C’est évidemment valable aussi pour les autres pays.

Vous l’aurez compris, je suis français, et j’aime mon pays. J’aime son histoire, sa civilisation, sa culture, sa cuisine, sa langue, ses avancées scientifiques, technologiques et sociales, sa diversité de paysages et d’architecture. La France est un pays qui rayonnait depuis près de 2000 ans. Mais chaque jour, cette étoile du berger semble perdre de sa brillance. Et ce, depuis plus de 4 décennies qui ont permis à l’étatisme et au populisme de prendre le pouvoir.

Les faits et les chiffres d’abord et toujours.

Je suis quelqu’un de très cartésien. Les êtres humains sont sujets à beaucoup de biais cognitifs qui peuvent altérer leurs jugements. Les chiffres sont neutres, apolitiques, impartiaux. Seule leur utilisation/présentation/interprétation peut avoir une visée idéologique.

Particulièrement intéressé par les maths, la physique et les sciences de l’ingénieur, je me suis rapidement dirigé vers un baccalauréat scientifique (S), puis en classes prépas (math sup/math spé). Après beaucoup de travail et d’efforts, j’ai pu intégrer l’École Centrale de Nantes, une école d’ingénieur généraliste réputée. Cette formation scientifique m’a permis de développer ma compréhension de l’innovation, des sciences et des technologies ainsi que des problèmes industriels.

Encore des chiffres !

Mon diplôme en poche, je ne me voyais pas travailler en ingénierie ou en conseil. Je n’avais pas particulièrement de passion pour l’ingénierie. L’évolution de carrière dans un grand groupe très hiérarchisé et les missions de « bullshit job » (ou « gratte-papiers ») qu’on confie aux ingénieurs ne m’attiraient pas vraiment. Une première envie de liberté surement…

J’étais par contre très intéressé par l’économie, la finance, la géopolitique, les news, les challenges liés à la réactivité. En voila une bonne idée pour utiliser ses capacités analytiques et numériques ! J’ai donc poursuivi mes études en école de commerce, à l’ESSEC, pour y obtenir un mastère spécialisé en finance de marché.

Cela m’a permis d’affiner mes connaissances en économie. Couplées avec mes connaissances scientifiques, j’ai pu développer une vision transversale et pragmatique de l’économie, de l’entreprise , de l’industrie et des technologies.

Un petit pas pour l’homme, un grand pas pour le libéralisme.

(L’inverse est tout aussi valable)

La formation en finance a pris place en partie à Singapour. Singapour ? Mais si ! Vous savez, ce petit caillou à la pointe de la Malaisie. Un village de pêcheur de 60 x 20 km qui s’est transformé en 50 ans en mégalopole de 5.5 millions d’habitants. Une ville ultra prospère et développée. Un centre financier international.

Singapour après son indépendance, à la fin des années 1960.

Singapour, de nos jours.

Par quelle sorcellerie est-ce possible? me demanderez-vous. Le libéralisme économique ! 50 ans de pragmatisme et de liberté économique ont permis à la ville-état de devenir le 4ième PIB par habitant au monde avec près de 90 000 dollars par habitants (2 fois plus que la France : 44 000 $, au delà des USA : 69 000 $).

Ce fut probablement un premier électrochoc pour me faire réaliser le besoin de liberté économique. Fraichement diplômé, je n’ai pas pu trouver de job dans cette ville. A regrets.

Je suis donc reparti vers la Suisse, à Genève. Oui, reparti. En effet, j’y avais déjà effectué un stage lors de mes études d’ingénieur.

Depuis près de 10 ans à Genève, j’ai eu la chance de travailler dans plusieurs domaines financiers. D’abord dans un family office, on y gérait une (petite) partie de la fortune d’un milliardaire du golfe arabique. Ensuite en trading de matières premières agricoles, permettant de relier les producteurs de différents pays d’Amérique du sud et d’Afrique aux industriels en Asie, en leur fournissant leur matière première. Puis en banque privée, en trading d’obligations (dette souveraine et d’entreprises) et actions, pour le compte de clients fortunés. Enfin en gestion d’actif, en analyse de fonds d’investissements, pour les retraites notamment. Ces différentes expériences m’ont apporté une meilleure connaissance des systèmes économiques et financiers mondiaux.

Encore un pays libéral ?

Oui, je crois que ce pays m’a définitivement converti à la pensée libérale. Il faut dire qu’on s’y sent bien en Suisse. Tout marche bien, il n’y a ni insécurité ni jalousie maladive. Les dépenses publiques sont contenues et contrôlées. Les taxes et impôts sont faibles. Le rôle de l’État est limité au régalien. Les élus sont là pour mettre en place les décisions (régulières) du peuple. Le chômage y est très faible, les salaires élevés. La santé et les universités sont parmi les meilleures au monde. La dette du pays est faible. L’industrie est forte et réputée. Le secteur bancaire et financier aussi.

Pour le paragraphe ci-dessus, je vous laisse le soin de faire les liens de cause à effet par vous même 😉. Si vous êtes patients, vous aurez les réponses en suivant ce blog. Chère liberté c’est aussi un podcast et des vidéos !

La liberté sans l’entrepreneuriat ?

Ah oui, j’avais oublié. Pendant cette période à Genève, j’ai aussi créé mon entreprise. C’était un site web qui proposait des produits d’hygiène et de beauté en format mini, pour les voyages (oui, l’idée m’est venue à l’Aéroport de Genève, lors d’un des mes nombreux voyages). J’ai essayé de faire décoller ce business. Ça n’a jamais vraiment marché pour différentes raisons, et j’ai fermé boutique au bout de 3 ans. Cette première aventure entrepreneuriale a surtout renforcé mon envie d’indépendance et de liberté plus que jamais. Comment vouloir être libre, prôner la liberté en étant dépendant de quelqu’un pour vivre ?

Actuellement, je suis investisseur et entrepreneur en immobilier. Ce qui me permet de gérer mon temps comme je l’entends, et de ne pas être à la merci d’un employeur. En bref, d’avoir une liberté importante.

Ce parcours de vie m’a mené notamment vers la notion de responsabilité personnelle, étroitement liée à la liberté individuelle. C’est pourquoi j’ai décidé d’approfondir le sujet avec ce blog, et de faire connaître les fondamentaux de la pensée libérale au plus grand nombre. En se basant sur des écrits et des expériences, j’espère faire de ce blog un étendard pour la liberté, et insuffler l’envie de changement.

Julien, de Chère Liberté.

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