Kilomètre 0 – Mon Parcours – Un Chemin vers la Liberté ?

Kilomètre 0 - le défi libéral - Chère Liberté
Je note cet article

(Partie 1/2)

Salut à tous, les esprits libres, c’est Julien LAURENT de chère liberté. Dans cette 1ère partie du kilomètre 0 de Chère Liberté, découvrez mon parcours en détail.

Retrouvez la vidéo dans son intégralité ci dessous ainsi que sur la chaine Chère Liberté.

Ainsi que sur vos plateformes de podcast habituelles :

Au programme :

Partie 1

Partie 2 (disponible ici)


Chère liberté, c’est quoi exactement ?

C’est un ensemble de publications sur un blog et un vidéo-podcast. Chère liberté, c’est du contenu autour de la liberté, de la responsabilité, ainsi que sur les fondamentaux de la pensée libérale avec comme unique objectif de défendre la prospérité et la sérénité du pays.

Ce blog et vidéo-podcast est pour moi un chemin d’initiation vers la liberté, et je vous partage mes apprentissage.

Aujourd’hui, c’est un épisode un peu spécial et différent des prochains à venir, c’est l’épisode 0 : le commencement ! Dans cet épisode je vous vais présenter plusieurs choses : la première c’est qui je suis, mon parcours.

Dans cette seconde partie, je vous présenterai le défi que je me lance avec Chère Liberté et les bénéfices que vous pouvez retirer de ce contenu ainsi que les miens. Vous pouvez d’ailleurs suivre sur les plateformes de votre choix le #defiLiberal.

Enfin je décrirais à quoi vous devez vous attendre avec Chère liberté en termes de contenus.


Mon parcours avant Chère Liberté

On commence directement avec mon parcours, qui je suis et d’où je viens.

Moi, c’est Julien Laurent, bientôt 34 ans, je viens de Montpellier, ça peut s’entendre à l’accent peut-être, et je vis actuellement en Haute-Savoie, proche de de Genève.

Je suis issu du d’un milieu plutôt ouvrier et fonctionnaire, en niveau de revenus, mes parents étaient proches ou légèrement au-dessus au smic.

Les faits et les chiffres d’abord et toujours.

Je suis quelqu’un de très cartésien. Les êtres humains sont sujets à beaucoup de biais cognitifs qui peuvent altérer leurs jugements. Les chiffres eux sont neutres, apolitiques, impartiaux. Seule leur utilisation/présentation/interprétation peut avoir une visée idéologique.

Plus jeune, j’étais particulièrement intéressé par les maths, la physique et les sciences de l’ingénieur, je me suis alors rapidement dirigé vers un baccalauréat scientifique (S), puis en classes prépas scientifiques (math sup/math spé). Après beaucoup de travail et d’efforts, j’ai pu intégrer l’École Centrale de Nantes, une école d’ingénieur généraliste réputée. Cette formation scientifique m’a permis de développer ma compréhension de l’innovation, des sciences et des technologies ainsi que des problèmes industriels.

Une constante toutefois au cours de mes années scolaires, c’est que j’étais toujours curieux. Et indiscipliné aussi, jusqu’au lycée, voire impertinent. Il faut dire que je m’ennuyais souvent en classe, ça n’allait pas assez vite.

Encore des chiffres !

Chiffres et marchés financiers

Mon diplôme d’ingénieur en poche (master, bac+5), je ne me voyais pas du tout travailler en ingénierie ou en société de conseil. Je n’avais pas particulièrement de passion pour l’ingénierie. L’évolution de carrière dans un grand groupe très hiérarchisé à la française et les missions de « bullshit job » (ou « gratte-papiers ») qu’on confie aux ingénieurs ne m’attiraient pas vraiment. Une première envie de liberté surement…

En fin d’études, j’ai réalisé un stage à Genève, en Suisse, en Finance de marché. Je devais élaborer des modèles mathématiques de trading sur les marchés actions. Un mélange de finance et d’informatique. Ça a été ma première expérience professionnelle en dehors de la France et j’ai commencé à découvrir ce qu’était un pays libéral et donc un pays prospère, qui fonctionne efficacement, sans être bâillonné par son administration.

J’étais très intéressé par l’économie, la finance, la géopolitique, les news, les challenges liés à la réactivité. En voilà une bonne idée pour utiliser ses capacités analytiques et numériques ! J’ai donc poursuivi mes études en école de commerce, à l’ESSEC, une école de commerce (Business School) très réputée, pour y obtenir un second master, spécialisé en finance de marché.

D’ailleurs, pour l’anecdote, c’est un cursus très sélectif. J’avais candidaté à seulement à 2 Masters spécialisés en finance, celui d’HEC qui était le premier mondial à l’époque et celui de l’ESSEC qui était le second. Et lorsque j’ai eu les entretiens oraux de de d’HEC, quand ils m’ont demandé si j’avais l’ESSEC et HEC lequel je choisirais, je leur ai dit que je voulais L’ESSEC. Il y avait plusieurs raisons à ça, le cursus de l’ESSSEC était à moitié à Singapour, donc, c’était plus intéressant en termes d’expérience pour moi que le fin fond de la banlieue parisienne.

Ce diplôme m’a permis d’affiner mes connaissances en économie et en finance. Couplées avec mes connaissances scientifiques, j’ai pu développer une vision transversale et pragmatique de l’économie, de l’entreprise, de l’industrie et des technologies.

Au niveau éducation, on peut dire que je suis un pur produit de la méritocratie française, ayant intégré et étant diplômé de deux prestigieuses grandes écoles françaises, sans réseau ni argent. L’ascenseur social fonctionne parfois quand on s’en donne la peine.

La responsabilité de ses actions est pour moi très importante, ainsi que la méritocratie par le travail accompli.


Singapour

En 2013, J’arrive donc à Singapour et l’objectif après le diplôme, c’était de devenir trader, rester à Singapour, faire un max de blé et profiter de de la situation géographique idéale en l’Asie pour voyager et profiter.

La formation en finance a pris place en partie à Singapour.

Singapour ? Mais si ! Vous savez, ce petit caillou à la pointe de la Malaisie. Un village de pêcheur de 60 x 20 km qui s’est transformé en 50 ans en mégalopole de 5.5 millions d’habitants. Une ville ultra prospère, sécurisée et développée. Un centre financier international.

Singapour après son indépendance, à la fin des années 1960.

Singapour, de nos jours.

Par quelle sorcellerie est-ce possible me demanderez-vous ?

C’est simple, le libéralisme économique !

50 ans de pragmatisme et de liberté économique ont permis à la ville-état de devenir le 4ième PIB par habitant au monde

*avec près de 90 000 dollars par habitants (2 fois plus que la France : 44 000 $, au-delà des USA : 69 000 $).

Ce fut probablement un premier électrochoc pour me faire réaliser le besoin de liberté économique.

1er échec en 2013, je n’ai pas pu trouver un emploi sur place à Singapour. Du coup, je suis revenu à Genève un peu à contrecœur. Genève n’étant pas la ville rêvée quand on a la vingtaine. C’est une ville très calme, parfois ennuyeuse, et surtout très chère !

Depuis près de 10 ans à Genève, j’ai eu la chance de travailler dans plusieurs domaines financiers. D’abord dans un family office, on y gérait une partie de la fortune d’un milliardaire du golfe arabique et j’étais en charge de développer des modèles mathématiques de trading et d’investissement. Ensuite en trading de matières premières agricoles, permettant de relier les producteurs de différents pays d’Amérique du sud et d’Afrique aux industriels en Asie, en leur fournissant leur matière première. Puis en banque privée, en trading d’obligations (dette souveraine et d’entreprises) et actions, pour le compte de clients fortunés. Enfin en gestion d’actif, en analyse de fonds d’investissements, pour les retraites notamment. Ces différentes expériences m’ont apporté une meilleure connaissance des systèmes économiques et financiers mondiaux.

Une constante dans ces métiers, il y a beaucoup de personnes instables mentalement, lunatiques, peu doués avec les interactions sociales, et n’assumant pas leurs erreurs. C’était assez difficile à vivre et j’ai changé régulièrement d’employeur à cause cette mauvaise ambiance.


En Suisse, encore un pays libéral ?

Oui, je crois que ce pays m’a définitivement converti à la pensée libérale. Il faut dire qu’on s’y sent bien en Suisse :

  • Tout marche bien.
  • Il n’y a ni insécurité ni jalousie maladive.
  • Les dépenses publiques sont contenues et contrôlées.
  • Les taxes et impôts sont faibles.
  • Le rôle de l’État est limité au régalien.
  • Les élus sont là pour mettre en place les décisions (régulières) du peuple.
  • Le chômage y est très faible.
  • Les salaires élevés.
  • La santé et les universités sont parmi les meilleures au monde.
  • La dette du pays est faible.
  • L’industrie est forte et réputée.
  • Le secteur bancaire et financier aussi.

Pour le paragraphe ci-dessus, je vous laisse le soin de faire les liens de cause à effet par vous-même. Si vous êtes patients, vous aurez les réponses en suivant Chère liberté, le blog et le vidéo-podcast.


La liberté sans l’entrepreneuriat ?

Ah oui, j’avais oublié. Pendant cette période à Genève, j’ai aussi créé mon entreprise 100millitres.com. C’était un site web qui proposait en vente en ligne des produits d’hygiène et de beauté en format mini, pour les voyages (oui, l’idée m’est venue à l’Aéroport de Genève, lors d’un de mes nombreux voyages).

J’ai essayé de faire décoller ce business. Ça n’a jamais vraiment marché pour différentes raisons, et j’ai fermé boutique au bout de 3 ans. Cette première aventure entrepreneuriale a surtout renforcé mon envie d’indépendance et de liberté plus que jamais. Comment vouloir être libre, prôner la liberté en étant dépendant de quelqu’un pour vivre ?

Actuellement, je suis investisseur et entrepreneur en immobilier. Ce qui me permet de gérer mon temps comme je l’entends, et de ne pas être à la merci d’un employeur. En bref, d’avoir une liberté importante.

Il y a 2 ans, j’ai décidé d’investir dans l’immobilier et j’ai entièrement rénové 3 appartements par moi-même. J’ai passé un an et demi à 100% à rénover de fond en combles. Ce fut une vraie révélation, j’adore l’immobilier, de la recherche de biens à la négociation et l’analyse de rentabilité, en passant par la redéfinition des espaces, le suivi des travaux jusqu’à la déco et la location.

Aujourd’hui je gère plusieurs appartements en location courte durée en zone frontalière autour de Genève, c’est mon activité principale en tant qu’entrepreneur et investisseur, avec l’objectif de développer rapidement l’activité dans d’autres secteurs géographiques.

L’entrepreneuriat me donne évidemment beaucoup de liberté pour développer mes projets (j’en ai plein, en immobilier notamment), organiser mon emploi du temps et ne plus subir les volontés de d’autres personnes. Ni travailler pour le rêve de quelqu’un d’autre.

Ce parcours de vie m’a mené notamment vers la notion de responsabilité personnelle, étroitement liée à la liberté individuelle.

C’est pourquoi j’ai décidé d’approfondir le sujet avec chère Liberté, et de faire connaître les fondamentaux de la pensée libérale au plus grand nombre.

En se basant sur des écrits et des expériences, j’espère faire de ce blog et ce vidéo-podcast un étendard pour la liberté, et insuffler l’envie de changement qui est primordiale.

Voilà c’était mon parcours personnel.

Vous pouvez retrouver aussi mon parcours sur la page qui-suis-je.

Merci pour votre lecture.

Vous trouverez ici la partie 2 de cet article sur le #defiLibéral

N’hésitez pas à vous abonner sur votre application habituelle et de commenter l’épisode, c’est ce qui permet d’être visible sur les réseaux, en utilisant le hashtag #defiLiberal.

C’était Julien LAURENT de Chère Liberté.

On se retrouve la prochaine fois pour une série d’épisodes sur un livre fondateur du libéralisme : la Route de la Servitude par Hayek.

À bientôt.

Et n’oubliez pas de rester des esprits libres.

S’abonner
Notification pour
guest

0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires